Ce qui manque peut-être aux Goncourt, c'est l'art de faire ressortir leurs mots, leurs curiosités de langage, de les mettre en vitrine afin que le badaud s'attarde. On ne s'aperçoit qu'ils ont de l'esprit - et du plus rare - , qu'à la deuxième ou troisième lecture. Mais un honnête homme ne lit pas deux fois la même chose.
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