La nature douce, molle, replète, arrondie de la femme, toutes les qualités qui font qu'elle est charmante dans la jeunesse, font aussi que tout s'affaisse, tout s'aplatit, tout pend dans l'âge avancé.
(Diderot, lettre LXXVI à Sophie, cité par Henri Lhéritier Moi et Diderot (et Sophie), p. 173, Édition Trabutaire, 2013.)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
En publiant un commentaire sur JulesRenard.fr, vous vous engagez à rester courtois. Tout le monde peut commenter (Les commentaires sont publiés après modération).