Classique en or dès sa première phrase écrite, né natif d'un pays filé d'argent et d'or Jules Renard est la plus fameuse pépite que la Nièvre ajoute au national trésor. Je l'ai connu, ce jaune et fin renard de France, comme un fier ami de mon adolescence, hanté d'amer espoir.
(Paul Fort, dans une de ses Ballades, cité par Maurice Mignon, Jules Renard, La Revue des deux mondes, 15 juillet 1960.)
N.B. Ce texte me paraît fort intéressant car dans le volume 2 de la Correspondance générale, Jean-François Flamant observe, page 1192, que "François Renard, père de Jules, était l'ami d'Aristide Fort, père de Paul. J.R. et Paul Fort se connurent donc très jeunes." On trouve ici une rare preuve de cette relation de jeunesse, et, en plus, attestée par l'un des deux intéressés. T.J.
N.B. Ce texte me paraît fort intéressant car dans le volume 2 de la Correspondance générale, Jean-François Flamant observe, page 1192, que "François Renard, père de Jules, était l'ami d'Aristide Fort, père de Paul. J.R. et Paul Fort se connurent donc très jeunes." On trouve ici une rare preuve de cette relation de jeunesse, et, en plus, attestée par l'un des deux intéressés. T.J.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
En publiant un commentaire sur JulesRenard.fr, vous vous engagez à rester courtois. Tout le monde peut commenter (Les commentaires sont publiés après modération).