À la Gloriette. Les oiseaux semblent coudre les uns aux autres, avec le fil de leur vol, tous les arbres du bois. Les arbres marqués de rouge ne sont pas ceux qu'on égorge.
En publiant un commentaire sur JulesRenard.fr, vous vous engagez à rester courtois. Tout le monde peut commenter (Les commentaires sont publiés après modération).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
En publiant un commentaire sur JulesRenard.fr, vous vous engagez à rester courtois. Tout le monde peut commenter (Les commentaires sont publiés après modération).