Lire deux pages de L'Intelligence de Taine et aller chercher des pissenlits, voilà un rêve, et c'est ma vie pour le moment. J'assiste encore au coucher des grives, au croule des bécasses, à l'endormissement du bois. J'en deviens bête. Heureusement, deux pages de Taine me décrassent, et me voilà en pleine fantaisie, au-dessus du monde, acharné à l'étude de mon moi, de sa décomposition, de votre néant.
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