À la fin des quatre jours du Salon [de Paris], les petits éditeurs remballent soigneusement les invendus. Les grosses maisons, en revanche, les jettent dans les bennes à ordure. En raison du transport et de la logistique, il coûterait plus cher de les réacheminer vers les distributeurs, sachant que beaucoup de livres sont abîmés après avoir été manipulés par les visiteurs.
(Le Monde des livres, vendredi 21 mars 2014.)
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