Mauvaise nuit. Ce matin, je reçois les félicitations de Jean Rignault, ancien concierge de la pension Rigal. Il a lu le Gaulois. Picard m'écrit que Lapauze a téléphoné au ministère, que Leygues est en voyage, et qu'il est impossible de savoir si c'est fait ou pas en ce qui me concerne.
J’arrive à la torpeur, presque à l'indifférence. Il me semble que sur ce papier j'écris les mésaventures ridicules d'un autre.
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