Trois colonnes pour dire à peu près ceci: que Barrès a élargi son moi jusqu'aux limites de sa petite patrie et à fait remonter sa propre expérience à l'histoire de ses ancêtres.
Et on y lit que Barrès est un autoclinicien, qu'il a démêle le syndrome de notre maladie, que, son moi, il ne le considère plus comme un phénomène premier, mais comme un phénomène conditionné. Il ne faut pas séparer son moi: il faut le raciner. Il essaie d'être individualiste pour être traditionaliste, ou, plutôt, l'individu...Ah! pions!
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