BLOG AMOUREUX DE JULES RENARD

lundi 8 juillet 2013

Journal, un jour de juillet 1905

De la paresse! Ah! il faudra bien que je l'écrive, ce livre-là! Le sot qui sent sa sottise n'est déjà plus si sot, mais le paresseux peut connaître sa paresse, en gémit, et le rester.

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