Ce village, avec sa quarantaine de maisons, son auberge, sa petite église, et, s'étendant de l'autre côté de la route, le parc et le château que Renard voulut ignorer, c'est le cœur de l’œuvre de Renard, et ce qui en fait la solidité.
Il y eut deux "côtés" dans Jules Renard: le côté de Chitry, le côté de chez Guitry - le côté paysan, le côté parisien. Mais jamais le second n'effaça le premier, essentiel. Et Renard devint l'ami de Guitry sans perdre la saveur de l'homme de Chitry.
(Léon Guichard, Jules Renard, La bibliothèque idéale, Gallimard, p. 79)
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