A force de regarder les toiles de M. Béraud, l'éducation de mon œil se fait. Je goûte une tache et je m'imagine comprendre un effet de lumière. J'ai eu autant de peine à aimer les gâteaux, mais maintenant, je les mange sans trop de haut-le-cœur. Je vais même jusqu'aux confiseries. Est-ce que je finirai par m'empeinturlurer l'esprit?
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