On a fait des études sur Renard et Gide, Renard et Daudet, Renard et Barrès, Renard et Proust, etc.
Personne n'a pas encore fait le parallèle entre l'imaginaire dans les ouvrages autobiographiques de Jules Renard et dans ceux de Louis-Ferdinand Céline. Entre Poil de Carotte et Mort à crédit. Quelles sources d'inspiration communes, quelle part faite à l'affabulation chez chacun?
Cela viendra, comme viendra aussi une étude sur leurs veuves respectives: "Lucette (Mme Céline) est une veuve assez exemplaire, qui a toujours défendu son mari et son œuvre;" "elle n'a rien de la veuve abusive qui ne laisse rien passer." (François Gibault et David Alliot, Le Journal du dimanche, 29 avril 2012, p.20).
En attendant, les curieux liront Madame Céline, route des Gardes, par David Alliot, Éditions Pierre-Guillaume de Roux, 144 p., en librairie le 15 mai 2012.
T.J.
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