C'est heureux que l'artiste ne se demande jamais pour qui il travaille.
Si chaque soir, sur chaque scène, l'auteur joué regardait une à une, par le petit œ il du rideau, les gueules de ce qu'on appelle une belle salle, le théâtre n'aurait pas un an à vivre.
Jules Renard, Le Canard sauvage, n° 1, 21 mars 1903
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